L’histoire de la bière est intimement liée à celle de ses ingrédients, ainsi qu’aux avancées technologiques qui firent de cette boisson le breuvage que l’on connait aujourd’hui. Les premières cultures de céréales, notamment de ‘orge et de l’épeautre (une variété de blé), ont été attestée en 8000 avant J-C en Mésopotamie. Tous les ingrédients étant disponibles dès cette époque, la bière pouvait donc exister et l’on estime son invention/découverte à 6000 avant J-C. Cependant, les preuves formelles de son existence, découvertes dans la province de Sumer, remontent au IVe millénaire av. J-C. A cette époque, la bière, alors appelée -sikaru2- (dont la traduction littérale est pain liquide) était à la base de l’alimentation quotidienne. On la fabriquait par cuisson de galettes à base d’épeautre et d’orge que l’n mettait à tremper dans l’eau, afin de déclencher la fermentation nécessaire à la production d’alcool, et que l’on assaisonnât avec de la cannelle, du miel ou toues autre épices en fonction des préférences des client. La bière connue des peuples de Chaldée (maintenant Irak, Koweït) et d’Assyrie ( Syrie, Liban, Palestine), devenue monnaie d’échange, commença sa dissémination.
Consommée en famille et utilisée comme moyen de paiement à Babylone, boisson des dieux d’Egypte, la bière devint dans la Grèce antique (Diodore de Sicile dit qu’elle fut inventée par Dionysos) et dans l’Empire romain celle du pauvre, et le vin celle des dieux. Elle resta cependant la boisson de choix des peuples du Nord, Celtes et Germains. La préférence pour le vin se confirma dans l’Europe chrétienne au début du Moyen Âge, notamment grâce au concile d’Aix-la-Chapelle de 816 qui encouragea les viticultures épiscopales et monastiques dans le but de célébrer l’eucharistie. Il fallut attendre le VIIIe siècle pour voir le brassage de la bière y reprendre de l’importance, en particulier en Bavière. Par la suite, aux environs du XIIe siècle, certains monastères ( par exemple en Belgique et en Bavière) se spécialisèrent dans le brassage de la bière, bue par la population à la place d’une eau souvent non potable.
En 1489, la cervoise devient –bière- dans un édit du roi Charles VIII à l’occasion d’un nouvel impôt.
Aujourd’hui, la bière jouit d’un succèsmondial en tant que boisson désaltérante et de dégustation. Ce succès
remonte au XIXe siècle où la maîtrise de la fermentation basse grâce à
la réfrigération et la pasteurisation permirent la production de
nouvelles variétés de bière ainsi que leur exportation. Par exemple la
pils, bière lager née à Pilzen en Bohême (République tchèque) en 1842, a
très rapidement connu un succès international.
En 1489, la cervoise devient –bière- dans un édit du roi Charles VIII à l’occasion d’un nouvel impôt.
Aujourd’hui, la bière jouit d’un succès mondial en tant que boisson désaltérante et de dégustation. Ce succès remonte au XIXe siècle où la maîtrise de la fermentation basse grâce à la réfrigération et la pasteurisation permirent la production de nouvelles variétés de bière ainsi que leur exportation. Par exemple la pils, bière lager née à Pilzen en Bohême (République tchèque) en 1842, a très rapidement connu un succès international.
La pils est consommée partout dans le monde pour sa relative fiabilité sanitaire.
Définition
La bière est une boisson alcoolisée obtenue par fermentation, fabriquée à partir d’eau, de malt, (céréale germée, principalement de l’orge, parfois additionné d’autres céréales) et depuis le Moyen Âge, de houblon. Plus généralement, il s’agit d’une boisson alcoolisée obtenue par transformation de matières amylacées par voies enzymatiques et microbiologiques.
Remontant à l’Antiquité (la fabrication de bière sikaru est attestée à Sumer au IVe millénaire av. J.C.), elle est l’une des boissons les plus populaires à travers le monde. Des versions faiblement alcoolisées (variant de 2° à 0°) sont présentes sur le marché. Contrairement aux autres boissons sans alcool, elles sont fabriquées par les mêmes procédés que la bière classique. La fabrication de la bière est réalisée industriellement ou artisanalement dans une brasserie mais est réalisable par le particulier.
Béierolympiade 2015
Gewënner Gedicht mat méiglechst ville Béiermarken
Stees de Moies op, dann mëss de der eng Orval op.
Dono geet et op d’Gemeng bei de Buergermeeschter Schiltz an do drénke mir e Simon Pils.
Dann si mer voller gudder Déng an drénken eng Fläsch Bofferding.
Net ze vergiessen ass den Diekircher Béier, well vun deem kanns de fécke wéi en Stéier, net wéi vum blöden Jupilerbéier.
An hues du mol den Hick, dann drénks de eng Kriek.
No deem ville Béier kënns de och mam Mousel net méi duerch d’Kéier.
Hues de dann nach en Verdaller gedronk, fälls de gären duerch den Zonk.
Mini-Pitcher-Tower, alles virun 4 Auer.
Virum Wiert nach séier an d’Dusch mat engem gudde Busch.
Um Apero en Guiness schnell, dat mécht eis d’Liewen hell. Sinn d’Luuten dann mol un, dann ass den Hirni-Bräu drun.
Lo gëtt et Zäit fir an d’Stuff an do drénke mer eng lescht Chouffe. Dann ginn d’Luuten aus an leen eis mat enger Fläsch Heineken bei eis Maus.
Prost e gudden!
Joe Cool asbl
LA BIERE
Inspirées
par les bières trappistes, les bières d’abbaye et les bières spéciales
belges, les bières produites sont de fermentation haute et de forte
densité c’est-à-dire que leur teneur en alcool est comprise entre 8 et
10% vol.
Leur couleur va du blond doré, en passant par le blond ambré e le blond cuivre, au brun clair et brun foncé.
Faisant
honneur au mot « cervoise » compris dans l’appellation de
l’association, toutes les bières sont aromatisées, en plus du houblon,
par des herbes et épices.
Ainsi la bière de mai est-elle aromatisée avec de l’aspérule, de la coriandre et des pelures d’orange séchées et la bière de noël avec du gingembre, de la cannelle, de la cardamone, de la coriandre et des pelures d’orange.
Cervoise du latin cerevisia.
Ce mot français désignait dans l’antiquité une boisson alcoolisée
fabriquée à partir d’orge ou de froment et aromatisée aux herbes et
épices. Après la généralisation du houblon comme aromatisant, la boisson
prit le nom de bière qui vient du germanique ancien bear ou beere.
USAGE
La
bière est une boisson qui intervient également dans de nombreuses
recettes de cuisine à la bière comme ingrédient premier (exemple : soupe à la bière) ou secondaire apportant une caractéristique particulière aux dessert (exemple : pâte à beignets à la bière).
Les couleurs des bières
La couleur résulte des types de malts de spécialité utilisés.
À peine 10% de malt black patent, mélangé à un malt de base, est suffisant pour produire une bière noire comme l’ébène.
Les blondes brassées avec des malts blonds très pâles, donnant l’amertume
et des arômes fruités et floraux avec une mousse abondante.
Les ambrées et les rousses brassées avec du malt légèrement torréfié,
donnant une couleur oscillant entre l’or cuivré et le roux franc,
procurant des saveurs caramélisées, des notes de réglisse et de
noisette.
variant du brun acajou au noir ébène. Au goût, un équilibre entre
l’amertume des sucres caramélisés et celle du houblon « 7li ».
Les noires (principalement les stouts) à base de malts très torréfiés (malt noir de 1000 EBC, voir plus)
Les blanches souvent non filtrées, doivent leur aspect à l’utilisation de
malts de froment et à la levure en suspension. Les bières sont
naturellement troubles, cependant, la tendance actuelle tend à
généraliser la filtration de la bière en post-fermentation, cde qui
explique la limpidité de nos boissons actuelles.
C’est notamment le cas des pils ou de la Kölsch. À l’opposé de cette logique
de marché, certains brasseurs continuent de produire des bières non (ou
peu) filtrées. Les bières trappistes, qui sont fermentées une nouvelle
fois durant leur période de garde, font partie de ces bières troubles.
Une garde prolongée sans filtration permet d’obtenir une bière
parfaitement limpide sans toutefois occasionner la perte de saveurs
souvent obtenue lors de la filtration.
L’histoire de la bière est intimement liée à celle de ses ingrédients, ainsi qu’aux avancées technologiques qui firent de cette boisson le breuvage que l’on connait aujourd’hui. Les premières cultures de céréales, notamment de ‘orge et de l’épeautre (une variété de blé), ont été attestée en 8000 avant J-C en Mésopotamie. Tous les ingrédients étant disponibles dès cette époque, la bière pouvait donc exister et l’on estime son invention/découverte à 6000 avant J-C. Cependant, les preuves formelles de son existence, découvertes dans la province de Sumer, remontent au IVe millénaire av. J-C. A cette époque, la bière, alors appelée -sikaru2- (dont la traduction littérale est pain liquide) était à la base de l’alimentation quotidienne. On la fabriquait par cuisson de galettes à base d’épeautre et d’orge que l’n mettait à tremper dans l’eau, afin de déclencher la fermentation nécessaire à la production d’alcool, et que l’on assaisonnât avec de la cannelle, du miel ou toues autre épices en fonction des préférences des client. La bière connue des peuples de Chaldée (maintenant Irak, Koweït) et d’Assyrie ( Syrie, Liban, Palestine), devenue monnaie d’échange, commença sa dissémination.
Consommée en famille et utilisée comme moyen de paiement à Babylone, boisson des dieux d’Egypte, la bière devint dans la Grèce antique (Diodore de Sicile dit qu’elle fut inventée par Dionysos) et dans l’Empire romain celle du pauvre, et le vin celle des dieux. Elle resta cependant la boisson de choix des peuples du Nord, Celtes et Germains. La préférence pour le vin se confirma dans l’Europe chrétienne au début du Moyen Âge, notamment grâce au concile d’Aix-la-Chapelle de 816 qui encouragea les viticultures épiscopales et monastiques dans le but de célébrer l’eucharistie. Il fallut attendre le VIIIe siècle pour voir le brassage de la bière y reprendre de l’importance, en particulier en Bavière. Par la suite, aux environs du XIIe siècle, certains monastères ( par exemple en Belgique et en Bavière) se spécialisèrent dans le brassage de la bière, bue par la population à la place d’une eau souvent non potable.
En 1489, la cervoise devient –bière- dans un édit du roi Charles VIII à l’occasion d’un nouvel impôt.
Aujourd’hui, la bière jouit d’un succès mondial en tant que boisson désaltérante et de dégustation. Ce succès remonte au XIXe siècle où la maîtrise de la fermentation basse grâce à la réfrigération et la pasteurisation permirent la production de nouvelles variétés de bière ainsi que leur exportation. Par exemple la pils, bière lager née à Pilzen en Bohême (République tchèque) en 1842, a très rapidement connu un succès international.
La pils est consommée partout dans le monde pour sa relative fiabilité sanitaire.
Définition
La bière est une boisson alcoolisée obtenue par fermentation, fabriquée à partir d’eau, de malt, (céréale germée, principalement de l’orge, parfois additionné d’autres céréales) et depuis le Moyen Âge, de houblon. Plus généralement, il s’agit d’une boisson alcoolisée obtenue par transformation de matières amylacées par voies enzymatiques et microbiologiques.
Remontant à l’Antiquité (la fabrication de bière sikaru est attestée à Sumer au IVe millénaire av. J.C.), elle est l’une des boissons les plus populaires à travers le monde. Des versions faiblement alcoolisées (variant de 2° à 0°) sont présentes sur le marché. Contrairement aux autres boissons sans alcool, elles sont fabriquées par les mêmes procédés que la bière classique. La fabrication de la bière est réalisée industriellement ou artisanalement dans une brasserie mais est réalisable par le particulier.
Béierolympiade 2015
Gewënner Gedicht mat méiglechst ville Béiermarken
Stees de Moies op, dann mëss de der eng Orval op.
Dono geet et op d’Gemeng bei de Buergermeeschter Schiltz an do drénke mir e Simon Pils.
Dann si mer voller gudder Déng an drénken eng Fläsch Bofferding.
Net ze vergiessen ass den Diekircher Béier, well vun deem kanns de fécke wéi en Stéier, net wéi vum blöden Jupilerbéier.
An hues du mol den Hick, dann drénks de eng Kriek.
No deem ville Béier kënns de och mam Mousel net méi duerch d’Kéier.
Hues de dann nach en Verdaller gedronk, fälls de gären duerch den Zonk.
Mini-Pitcher-Tower, alles virun 4 Auer.
Virum Wiert nach séier an d’Dusch mat engem gudde Busch.
Um Apero en Guiness schnell, dat mécht eis d’Liewen hell. Sinn d’Luuten dann mol un, dann ass den Hirni-Bräu drun.
Lo gëtt et Zäit fir an d’Stuff an do drénke mer eng lescht Chouffe. Dann ginn d’Luuten aus an leen eis mat enger Fläsch Heineken bei eis Maus.
Prost e gudden!
Joe Cool asbl